Cliquez ici >>> 🥅 je ne supporte pas mon mec quand il a bu
Jene supporte aucun organe de presse en particulier et quand bien même Comparer les subventions accordés par l'état et un financement intégral (énorme d'ailleurs) payé par les impots est d'une malhonnêteté intellectuelle abyssale
1604/2007 à 08:17. Je ne supporte plus mon copain, je n'ai rien à lui reprocher il n'a rien fait de mal mais j'en peux plus. Il est ennuyeux, jamais un rire, rien. Au début c'était neuf, il avait l'air gentil, et je me disait à 34 ans avec l'age qui avance l'horloge biologique, il était temps de trouver une personne stable pour fonder
Vouspouvez dire : « J’en ai ras le bol de la pluie ! ». Quatrième moyen de dire que vous en avez marre, celui-là , il est assez familier. C’est « ça me saoule ». C’est la même chose que le mot « saoule ». Si vous êtes saoule, c’est que vous avez bu trop d’alcool et que vous ne voyez plus bien, vous ne savez plus bien marcher.
Tantpis je vais payer les 2 mous de loyer de l autre appart dans le vent. Ça ne va toujours pas elle ne veut pas sortir c'est moi qui emmène sa fille a l école. Pendant le déménagement j ai du me séparer de ma plupart de mes meubles qu elle n aimait pas. Il fallait tout racheter. Mes parents me dépanne de 1000 euros pour racheter des truc.
7 Epurez votre emploi du temps. Quand on souffre de dépression, on ne peut plus tout assurer. Acceptez-le, et ne vous imposez pas des choses que vous ne pouvez plus faire pour le moment.Si vous en avez les moyens, la possibilité, déléguez les tâches qui vous sont ingrates comme le repassage, les courses, le ménage, les factures à d’autres
Site De Rencontre Gratuit Sans Inscription Sur Mobile. Mis à jour le 14 février 2021 à 18h00 © Getty Quand Anne s'installe chez sa copine pour garder son chat, elle n'imagine pas qu'elle va trouver l'homme de sa vie à l'étage du dessus. Encore moins qu'elle serait en tenue d'Eve. Et pourtant... Par Nathalie Hélal En sentant une caresse appuyée sur mes seins, j'ai péniblement ouvert un oeil. Il était en train de se rhabiller et affichait un air autosatisfait qui m'a déplu sur-le-champ. Nous venions de passer une nuit torride, mais il se comportait comme s'il n'avait déjà plus rien à me prouver tout à fait le genre de garçon avec lequel l'aventure s'arrête au saut du lit ! J'avais hâte qu'il s'en aille, et aucune envie de le revoir. Par chance, il ne savait rien de moi. L'appartement qui venait d'abriter nos ébats n'était pas le mien et, d'ici à vingt-quatre heures, dès que Stéphanie dont je gardais le chat serait rentrée de son escapade à Marrakech, je serais introuvable à cette adresse. Nue, je l'ai raccompagné jusqu'à la porte, où j'ai écourté les adieux. Je me suis ensuite dirigée vers la salle de bains. C'est à ce moment précis que j'ai senti que quelque chose clochait Jean-Claude n'était pas venu se frotter à mes jambes comme d'habitude. Beau spécimen de race européenne », Jean-Claude était un chat idolâtré par sa maîtresse. Gentil mais têtu, il avait une fâcheuse tendance à essayer de se faufiler dehors à la moindre occasion. Si ma copine se fichait pas mal que je ramène des amants chez elle en son absence, en revanche, elle faisait une fixation sur le bien-être de son chat ! Que faire si je croisais quelqu'un ? »Après l'avoir cherché dans chaque recoin de l'appartement, il a fallu me rendre à l'évidence Jean-Claude avait disparu. Il avait dû profiter du moment des adieux pour prendre la poudre d'escampette. Paniquée, j'ai foncé jusqu'à la porte que j'ai entrouverte. Il était là , sagement assis sur les marches, et a miaulé en me voyant. Pendant une fraction de seconde, j'ai pensé à rentrer pour m'habiller en vitesse, mais la crainte que Jean-Claude ne profite de ce moment pour fuguer encore plus loin m'a retenue je n'avais qu'à m'avancer pour le récupérer, à deux enjambées du seuil. Ce que j'ai fait, non sans mal car Jean-Claude se débattait. J'étais à environ cinquante centimètres de la porte, quand quelqu'un, à l'étage au-dessus, a refermé un peu trop fort la sienne j'ai vu la porte me claquer au nez, comme dans un film. En tenue d'Eve, à 7 heures du matin, un chat noir dans les bras, j'avais l'air malin ! Le pire, c'est que je ne connaissais personne dans ce foutu immeuble. Et je savais par Stéphanie que la gardienne était du genre pas commode, donc, toquer à sa loge était mission impossible. Que faire si je croisais quelqu'un ? J'ai inspiré profondément pour me calmer, sans lâcher Jean-Claude. Il fallait à tout prix que je trouve quelque chose pour paraître un peu moins dévêtue... J'ai attrapé le paillasson le moins dégueu de tout le palier, et j'ai pris mon courage à deux mains pour sonner à la porte d'en face. Sans succès. Me tournant vers la porte de gauche, j'ai perçu des pas légers, et une voix enfantine a retenti Maman ! Y a une dame toute nue ! » Je n'ai pas attendu la réponse pour me dissimuler dans l'escalier. Après avoir frappé à la porte de droite, j'ai eu droit à une menace, venant d'une vieille dame flippée "Allez-vous-en ou j'appelle la police !" Il ne me restait plus qu'à tenter ma chance à l'étage du dessus... Je me suis donc retrouvée seule dans l'appartement d'un parfait inconnu »J'ai grimpé l'escalier en rasant les murs. J'avais la hantise que Jean-Claude ne m'échappe pour de bon. J'ai choisi au hasard la porte du milieu et m'apprêtais à toquer quand celle de droite s'est ouverte. Un homme d'une trentaine d'années, la réplique de Hugh Grant, est apparu, un attaché-case à la main. Je ne sais pas lequel de nous deux a été le plus surpris lui, qui a esquissé le geste de se frotter les yeux, ou moi. Avez-vous besoin de quelque chose ? » m'a-t-il demandé, avec un délicieux accent. En plus de ressembler au plus sexy des play-boys anglais, il en était visiblement un compatriote. Je suis Anne, votre voisine du dessous, ma porte s'est refermée et... J'aimerais bien passer un coup de fil... et me mettre quelque chose sur le dos », ai-je débité à toute vitesse. Pas de problème ! Entrez, faites comme chez vous. Au fait, je m'appelle Colin. Ne vous inquiétez pas pour le chat, il est le bienvenu lui aussi ! » Je n'avais pas le choix, et j'avoue que son charme ne me laissait pas indifférente. L'urgence pour moi était de réintégrer l'appartement de Stéphanie, avec son chat. Colin s'est effacé pour me laisser entrer mais je lui ai fait signe de me précéder, le paillasson ne couvrant que le devant de mon corps... Il a eu le tact de ne pas se moquer de moi et s'est précipité dans la salle de bains pour me tendre un peignoir. Pendant ce temps, Jean-Claude faisait le tour du propriétaire. Vous voulez un café, un thé... grignoter quelque chose ? » Un peu rassérénée, j'ai accepté un thé, et souri en voyant Colin, dans la cuisine, camoufler la vaisselle sale de la veille. Pendant que je soufflais sur ma tasse, il avait déjà composé le numéro d'un serrurier. Bon... Voilà ce que nous allons faire... Je dois partir travailler, mais vous allez rester ici en attendant que le type arrive. Même s'il met la journée, prenez tout votre temps et reposez-vous. Vous avez l'air d'en avoir besoin... - Je ne sais pas comment vous remercier... et pour le chat, dites-moi, vous n'auriez pas quelque chose à manger... et pour le reste ? » ai-je questionné, inquiète pour les dégâts que Jean-Claude pouvait causer. Ah ! Vous avez raison, je vais arranger ça tout de suite », a déclaré mon sauveur. En un clin d’œil, il avait passé commande sur Internet d'un paquet de croquettes, d'un sac de litière et d'un bac en plastique. Le tout allait être livré en moins d'une heure. Je me suis donc retrouvée seule dans l'appartement d'un parfait inconnu, avec un chat pour toute compagnie. Colin m'avait confié ses clés, avec la recommandation expresse de ne pas les oublier à l'intérieur, si je sortais... Le parfait célibataire, bon à marier ! »Vers 19 heures, quand il est rentré, j'avais eu le temps de méditer sur le charme de notre rencontre. J'avais surtout fait la visite approfondie de son appartement. N'ayant pas grand-chose pour tromper mon ennui, et désireuse de savoir à qui j'avais affaire, je ne m'étais pas gênée pour fouiner dans ses placards et ses tiroirs. Verdict le parfait célibataire, bon à marier ! Cette découverte m'avait d'ailleurs fait m'incruster plus que de raison, y compris après le départ du serrurier. J'avais très envie de lui montrer qu'en dépit des apparences j'étais tout sauf une blonde idiote, capable de s'aventurer sans ses clés, nue sur le palier. Alors je suis allée faire des courses, j'ai cuisiné tout l'après-midi, je suis passée me doucher, me changer et me maquiller chez Stéphanie, et j'ai dressé la table... chez lui. Quand il a sonné à la porte, il a eu un second choc. J'avoue qu'objectivement, ce que j'avais fait était assez gonflé... je n'étais pas censée savoir qu'il était un coeur à prendre ! Heureusement, l'idée de ce petit dîner improvisé en tête à tête l'a enchanté. Il m'a confié plus tard qu'il avait l'impression de ne pas être au bout de ses surprises avec moi, et que c'est ce qui l'avait séduit. Il m'a dit aussi qu'après m'avoir vue nue, il avait eu envie d'aller voir si j'avais aussi une tête bien faite. Nos vérifications réciproques ont tellement bien fonctionné que nous ne nous sommes plus quittés un mois après cet épisode improbable, je m'installais chez lui. Et désormais, quand Stéphanie n'est pas là , je prends Jean-Claude en pension chez nous.
Harry Potter 2005 ~¤~ Académie de Poudlard ~¤~ Cours Astronomie Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesInvité, le Mar 12 Mai - 002 Les élèves arrivaient doucement dans la salle, et la plupart partirent directement s'asseoir, sans piper mot. Alors que je guettais la porte d'entrée, un Serpentard de petite taille fit irruption dans la pièce. J'étais très intriguée et visiblement je n'étais pas la seule. Mais à ma plus grande horreur, ils ne l'étaient de la même manière que moi. En effet des éclats de rires fusèrent et je sentis littéralement mon sang bouillir lorsque des remarques vraiment déplacées arrivèrent à mes oreilles. Mais ils se prennent pour qui, eux ? Ma main se crispa brusquement sur ma baguette et je manquais de peu de me lever pour lancer une réplique cinglante à ces jetais brièvement un œil au petit homme dont j'ignorais le prénom, et ne fûs pas surprise de le voir dans le même état que moi -si ce n'était pas pire-. tenta d'apaiser les tensions, mais c'était peine perdue Delaube et le nain se fusillaient du regard. Ils finirent tout de même par prendre place aux extrémités de la pièce. Bizarrement j'avais la nette impression d'être prise en sandwich entre Delaube derrière au troisième rang et le petit homme au premier, je n'espérais vraiment pas tenir la C'est complètement puéril, murmurai-je à moi-même. Jace PortlandSerpentard Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesJace Portland, le Mar 12 Mai - 2053 Le jeune Jace parcourait lentement les couloirs du troisième étage, un livre à la main. D'ordinaire il n'était pas si studieux mais la nuit qu'il venait de passer n'avait pas été de tout repos. Il n'avait pas réussi à fermer l'œil plus d'une heure; ce qui le laissait courbaturé et plutôt de mauvais point. Le Serpentard s'était dit qu'il arriverait sans doute à s'assomer en lisant quelques pages des Runes de Futhark, mais c'était trop espérer. Rien ne parvenait à l'endormir. Il était donc parti faire son jogging matinal autour du parc pour redonner des couleurs à son visage pâle et avait enchaîné sur une douche express pour se redonner de la forme... Malgré tout cela, il lui restait une heure à tuer avant son premier cours de Médicomagie. Matière qu'il avait d'ailleurs hâte d'entamer car elle lui serait sans doute utile à l'avenir. Depuis que le Vert et Argent était entré à Poudlard, il s'était juré d'en apprendre le plus possible sur l'art du combat et de la défense. Sans cela, il n'était pas sûr de pouvoir correctement faire face aux dangers qui le menaçaient depuis la disparition de sa mère. Alors qu'il approchait de la salle où se tenait le cours, une Poufsouffle le précéda en manquant de peu de le bousculer. Il la regarda alors avec mépris avant d'entrer dans la salle. Ces Poufsouffles j'vous jure... Ses pas le conduirent ensuite au deuxième rang, à proximité d'une autre Jaune et Noire dont la tête lui disait vaguement quelque chose. Ses yeux se posèrent aussi sur un homme très imposant aux traits marqués. Il s'agissait certainement de Mkrovsk, leur professeur. Rien que le nom imposait le silence, déjà parce qu'il était imprononçable, et puis parce qu'il ne semblait pas très causant. Une étude plus approfondie du personnage lui révéla que l'homme portait beaucoup de cicatrices et que si le jeune Jace s'avisait de faire une remarque déplacée, il risquait certainement quelques bref ! Il le salua d'un signe de tête et installa ses affaires sur le pupitre. La Poufsouffle à côté de laquelle il était maintenant assis, semblait furaxe et prête à dégainer sa baguette. Ses yeux lançaient des éclairs et Jace tentait de trouver la source de cette ambiance si palpable. Ce ne fût pas long à chercher, car tous les yeux étaient braqués sur un Serpentard de petite taille. Le brun fronça les sourcils. C'est un nain... Et alors ? Invité Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesInvité, le Mar 12 Mai - 2144 Elya, avait ce jour là , un cour de médicomagie. C'était la première fois qu'elle allait assister à un cours dans ce genre, et elle avait très hâte. L'Anglaise pensait surtout à son avenir à ce moment là , en se disant que pour le métier d'Auror il fallait avoir de multiples connaissances. Mais bon. Elle ne pouvait pas juger ce cours aussi hâtivement. En effet, il se peut aussi que la rouge et or n'adhère pas du tout à cette matière, et qu'elle tombe ainsi dans l'ennui le plus total. La jeune fille espérait dans ce cas pouvoir trouver des camarades avec qui bavarder. La jeune fille enfila donc sa robe de sorcier, ornée de l'insiqne de sa maison, atrappa son sac, et sortit de son dortoir et de sa salle commune. La gryffy se dirigea ensuite vers la salle de classe. Et vers cette nouvelle matière qu'elle s'apprêtait à découvrir. La jeune fille trouva rapidement l'endroit et, sourire aux lèvres, elle poussa la porte de sa salle de cours. Bon, plusieurs personnes étaient déjà arrivés et le professeur était déjà installé à son bureau. Elya regarda sa montre. Ça va elle était en avance. -Bonjour !Elle regarda ensuite autour d'elle pour trouver une place, mais ne voulant pas être seule à une table, elle décida de se diriger vers une pouffy assise au fond. La jaune et noire avait un air concentré et un chignon pour ne pas que ses cheveux lui tombent sur le visage. -Excuse moi, je peut m'asseoir ici? J'ai pas envie de me retrouver seule dans un avec un sourire elle rajouta-Moi c'est Elya Lane. Laurae SyverellPoufsouffle Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesLaurae Syverell, le Mar 12 Mai - 2227 Des rires venait lever la tête de la Poufsouffle. Pourquoi ce rire? Il avait l'air malsain, méchant... La jeune femme regarda autour d'elle et vit un garçon assez petit. "Je vois..." Son uniforme montrait qu'il était de Serpentard. Il avait l'air d'avoir l'habitude qu'on se moque de lui avec méchanceté. La jeune femme serra les dents. "Non, on est jamais habituée". Elle même avait sa forme "différente des autres". Son orientation sexuelle lui avait parfois jouer des tours qui n'étaient vraiment pas marrant. La Syverell se mordit la lèvre. Mkrovsk n'avait même pas l'air de bouger. La jeune femme prit alors discrètement sa baguette, et lança un petit sort qui liait les lacets des chaussures de Leister. Si il marchait, il tomberait. L'Humiliation d'être face contre terre lui suffira-t-il? De plus, la jeune femme restait dans le règlement. Elle n'utilisait que des sorts de base. Avec discrétion, elle rangea à nouveau sa baguette. Et en profita pour placer ses affaires correctement sur sa table. Le visage et le regard impassible, personne ne pourrait se douter que c'était elle. Et on ne risquerai pas de s'en prendre au Serpentard puisque celui ci avait tourné les talons sans se soucier du rire qui était sur lui. Plusieurs élèves commençaient leurs entrées. Mais la chère Lionne de la jeune femme n'était toujours pas arrivée. La Syverell se pinça les lèvres. Ses pensées dérivèrent sur sa cousine. Il allait falloir passer commande à la Boutique de Magie noire pour choper un moyen de communication au cas ou il arrivait malheur. Surtout après la voie qui s'ouvrait à la Blairelle. C'est avec un soupir qu'elle releva les manche de son uniforme, dévoilant un morceau de son tatouage d'avant bras. Elle se passa une main dans les cheveux, et fixa sa table, concentrer sur les mouvements de Leister. "Allez.... Tombe gredin". Si jamais la punition ne se faisait pas, elle rendrait justice autrement, dommage pour l'aiglon, elle ne faisait pas partie des sages et intelligents bleus et argent, mais des impulsifs et loyaux noir et jaune. De plus, elle manquait cruellement d'exercice. La boxe lui manquait. "Oui, toute excuse est bon a prendre dans ce monde de brute." Wilum JärvidenSerpentard Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesWilum Järviden, le Mar 12 Mai - 2314 La porte de la salle de classe fut ouverte à plusieurs reprises, laissant rentrer d'autres élèves inscrits au cours de médicomagie. Wilum jeta un coup d'œil aux équipements présents dans la salle, tout un attirail d'équipements biologiques. Le silence qui s'était installé dans le cours fut interrompu par des rires à l'arrivée d'un élève pas vraiment commode. Le canadien l'examina pendant un instant puis il fit une petite grimace lorsque le petit bonhomme éleva la voix, car oui, il monta sur ses sombrals en agressant le préfet des Blaireaux, enfin agressé est un bien gros mot. Ce fut monsieur Mkrovsk qui calma les ardeurs du nouvel arrivant. Lui casser les dents ? Le Serpentard fut nauséeux à cette pensée. Son imagination débordante lui envoya une image horrible, dégoûtante.... Des dents qui sautent à l'autre bout de la salle. Ce serait une mince affaire pour le professeur de médicomagie qui a une forte carrure. Il a l'air d'une brute. L'attention de Wilum se dirigea de nouveau vers le nain. C'est la première fois depuis longtemps qu'il en voit. * Je ne casse pas des briques avec ma taille... * Pensa-t-il. Enfin bref, il délaissa rapidement le second Serpentard qui avait attiré toute l'attention de la petite troupe d'étudiants et notamment celle du professeur. Pour le moment, il n'y a pas beaucoup d'étudiants qu'il connait. Seuls les pensionnaires du château qu'il a vaguement croisé dans les couloirs remplissent les rangées de tables. Il observa la porte de la salle, comptant les secondes avant que celle-ci ne s'ouvre à nouveau. Onze secondes ! Onze petites secondes et voilà la porte qui s'ouvre lentement et un autre étudiant pénètre dans la salle de cours. Il ne reste plus qu'à attendre que tout le monde soit là ... RenésméePoufsouffle Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesRenésmée, le Mer 13 Mai - 1358 Renésmée marchait avec vitesse dans les couloirs. Les escaliers n'en avaient fait qu'à leur tête et cela l'avait retardé. Ce que la Poufsouffle redoutait le plus, c'est-à -dire arriver en retard en cours de médicomagie, allait peut être se produire. Elle n'avait pas encore assisté à un cours de ce type mais elle avait déjà croisé le Professeur et il lui avait fait forte impression. En effet, la jeune fille était assez petite pour son âge, même si elle commençait à vraiment grandir petit à petit. A côté du Professeur, elle ressemblait vraiment à une fois arrivée devant la salle, elle reprit son souffle puis poussa la porte. Il y avait déjà quelques élèves, mais elle n'était pas la dernière. En passant devant le Professeur, elle le salua d'un "Bonjour Monsieur" puis se dirigea vers une place pour s'assoir. En passant devant un Serpentard, elle fut intriguée. Bien qu'il soit déjà assit, on remarquait qu'il était très petit et elle arriva vite à la conclusion que c'était un nain, ou quelqu'un de petite taille pour être plus poli. La jaune et noire n'était pas restée devant le Serpentard pendant qu'elle réfléchissait, ce qui lui empêcherait une fois assise, la jeune fille sortit un parchemin et une plume. Elle regarda le tableau pour connaître le sujet du cours et ferma les yeux. Opérations médicomagiques, il y allait avoir du sang. Cela la répugnait, mais elle pensait quand même pouvoir soutenir cela, si c'était dans un but de soigner. Une fois le titre copié, il ne lui restait plus qu'à attendre les derniers élèves arriver. Kahena CernunnosPoufsouffle Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesKahena Cernunnos, le Mer 13 Mai - 1602 Kahena se tourna et re-tourna dans son lit, encore et encore. Une bonne journée s'annonçait pour elle. Elle n'avait absolument rien de prévu et allait pouvoir donc rester tranquillement au chaud sous sa couette. L'une des meilleures sensations au monde n'est-elle pas de pouvoir rester éveillé au lit ? Elle ferma les yeux. Ça devait être cela qu'on ressent après notre mort. Un cocon chaud et moelleux. Si c'était vraiment le cas, elle avait presque hâte de devenir un cadavr.... La médicomagie. Comment avait-elle pu oublier ? Elle s'était inscrite aux cours sur un coup de tête, parce que justement elle n'avait rien de prévu. Elle n'était même pas particulièrement passionnée par la médico'. Pourquoi s'était-elle inscrite si ce n'est pour remplir son emploi du temps ? Elle se remua les méninges, tentant de trouver une réponse, tout en sortant péniblement du lit pour mettre son uniforme. Elle mit ses lunettes de soleil - rondes, s'il vous plaît - pour protéger ses yeux si vulnérables. Elle attrapa son sac et sortie précipitamment de la Salle Commune des Poufsouffles. Le thème du cours ne lui revenait vraiment pas, mais elle l'avait sur le bout de la langue. Elle arriva devant la salle de classe dans laquelle elle entra, ses cheveux dégradés rouges coiffés - enfin non, pas coiffés justement - comme une crinière de lionne. Elle tenta d'aplatir ses mèches d'une main tout en s'avançant dans la salle. Elle dévisagea de derrière ses lunettes l'homme debout à côté du tableau et conclu qu'il devait s'agir du professeur, Mr. Mkrovsk. Elle le salua poliment avec un léger sourire, comme pour s'excuser de la précipitation avec laquelle elle était entrée.*Il est temps de se faire discrète à présent.* Elle avança parmi les bureaux, reconnaissant certains élèves de sa maison. Elle s'assit à un bureau voisin de celui d'un Serpentard qui avait l'air particulièrement énervé et qui était étonnamment petit.*Un nain.* lui appris sa Voix interne. *On dit "un petit monsieur" quand on est poli.* la corrigea-t-elle. Sans faire plus attention au concerné, elle sorti plume et parchemins afin de faciliter la prise de notes."Premières opérations médicomagiques." Lu-t-elle sans faire attention au tableau. Mais oui ! Elle s'était inscrite parce que ce cours promettait un maximum de de morceaux sanglants et qu'elle adorait ça ! Rien de mieux de bon matin. Invité Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesInvité, le Jeu 14 Mai - 1539 Aileen était assise dans la salle commune, plongée dans un livre expliquant les bases de la médicomagie ; elle n'était pas stupide et savait parfaitement qu'elle aurait sûrement du retard sur les autres élèves présents au cours, généralement plus âgés qu'elle, mais essayait de compenser en apprenant quelques bases - purement théoriques cela-dit. Elle était tellement absorbée qu'elle ne remarqua que tard l'heure qu'il était, en constatant qu'elle était quasiment seule dans sa salle commune. Elle se leva prestement, saisit son sac et sortit de la salle d'un pas vif, se dépêchant d'arriver à la salle de fois arrivée devant cette dernière, elle s'arrêta et reprit son souffle, avant de remettre ses cheveux et sa cravate en place et de lisser sa jupe, afin d'avoir l'air convenable. Elle entra calmement dans la pièce, visiblement elle n'était pas encore en retard, mais il y avait déjà du monde. Le professeur était près de son bureau, Mr... Oh, elle n'arrivait pas à s'en souvenir ! Elle avait bien essayé de le prononcer et de le retenir, mais rien à faire. Elle le regarda fixement pendant quelques secondes, perplexe. Il n'avait pas vraiment le profil de professeur de médicomagie... En tout cas, pas tel qu'elle l'aurait imaginé. Mais l'habit ne fait pas le moine, n'est-ce pas ?- Bonjour Professeur, le salua-t-elle en alla immédiatement s'asseoir au premier rang, dont les bureaux étaient tous occupés. Elle prit place à côté d'un Serpentard, dont elle ne remarqua la petite taille qu'après s'être assise. *Un nain.* conclut-elle rapidement. Elle s'en fichait pas mal, elle en avait déjà vu auparavant, mais à voir l'air renfrogné de son camarade, cela ne devait pas être évident tous les jours. Elle lui sourit gentiment, tout en sortant parchemin et encre pour écrire le titre de la leçon. *Premières opérations médicomagiques... Ça promet d'être passionnant !* Elle remarqua ensuite les cages, et, préférant ne pas savoir pour l'instant ce qu'il y avait à l'intérieur, se tourna vers son Bonjour ! Je m'appelle Aileen Leigh, enchantée de te regarda ensuite vaguement autour d'elle. Au bureau voisin se trouvait une Poufsouffle qu'elle ne connaissait pas, et en balayant la salle du regard elle constata que beaucoup de gens de sa maison étaient présents, ainsi que des Serdaigles et des Serpentard, mais il n'y avait qu'une Gryffondor. Aussi, cela confirma ce qu'elle savait déjà elle était la plus jeune. Bon, il y avait bien un Serdaigle plus jeune que les autres - Leister si ses souvenirs du cours d'Étude des Moldus étaient bon - mais il devait être en troisième ou quatrième année, ce qui fait qu'elle restait la seule première année. Invité Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesInvité, le Jeu 14 Mai - 1542 Dean se leva tôt ce descendit des dortoirs, traversa la salle commune et se rendit dansl a grande salle pour minutes après avoir fini, il entendit la cloche sonner il devait partir pour son cours de médicomagie! Il courut à travers les couloir, monta les escaliers et se retrouva devant la porte de son entra sans toquer et salua respectueusement son professeursBonjour hate de commencer le cours!Il se permit de s'installer voyant que d'autres personnes étaient déjà prit donc place et se mit à observer le materiel destiné au y avait des blouses ils allaient donc faire des expériences! Beaucoup mieux que d'écrire les théories. Dean préférais la pratique, on y apprenait plus de choses. Il remarqua plusieurs autres instruments dont il ne connaissait pas l' il se mit a observer ses camarades il y avait plusieurs filles et quelques n'avaient pas tous l'air vit même un garçon plus agé que lui jeter des regards furieux au attendit donc les autres élèves pour commencer le avait hâte de le commencer et d'apprendre encore des choses sur cette matière! Invité Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesInvité, le Jeu 14 Mai - 1750 Assise sur une racine épaisse d'un haut chêne du Parc, Célya contemplait le ciel bleu matinal dont l'immensité était parsemée de traînées blanches. Les jambes ramenées sous son menton, adossée au tronc, la jeune fille poussa un petit soupir de bien-être et ferma les yeux. Elle voulait profiter de cette quiétude encore un moment, avant de partir prendre sa douche et se préparer pour son premier cours. A cette heure-ci, les élèves étaient en train de prendre leur petit déjeuner dans la Grande Salle, s'empiffrant de toasts, de confiture et autres nourritures qui leur donneraient des forces pour tenir jusqu'à midi. Pour sa part, la blondinette avait petit-déjeuné léger, se contentant d'une tranche de pain beurrée et recouverte d'une légère couche de confiture à la fraise. Puis elle était partie avec son frère jumeau faire une demi-heure de et elle avaient repris cette habitude depuis plusieurs semaines. La Préfète se sentait beaucoup mieux, ayant l'impression d'évacuer la tension. C'était une bonne chose, de pouvoir démarrer la journée sans se soucier de rien. C'était exactement ce qu'elle ressentait en ce moment-même. Le vide, le néant était présent dans son esprit, tandis qu'une brise lui soulevait les mèches de cheveux. Célya savoura ces quelques minutes de calme et finit par se décider à rentrer au château. Dans son collant noir et son sweet-shirt trop grand pour elle, elle paraissait frêle. Mais l'habit ne faisait pas le moine, c'était connu. Marchant d'un bon pas, la blondinette fourra les mains dans les poches du pull et nota qu'un professeur courait près du Lac. De loin, elle crut reconnaître prit son uniforme dans son dortoir et partit en quête de la Salle de Bains des Préfets, côté douches. Restant coi malgré les événements des jours précédents, la blondinette prit sa douche, se forçant à ne penser à rien. Plus facile à dire qu'à faire. Distraite, elle glissa alors qu'elle voulait sortir de la cabine et s'étala de tout son long au sol. Pour ne rien arranger, sa tête, son coude et sa hanche le heurtèrent brutalement. Un moment sonnée, la Préfète se redressa avec douleur. Elle chercha après sa serviette de bain et une fois celle-ci nouée autour de son corps, s'examina. Une bosse se formait déjà à son front et sa lèvre était fendue. Un peu de sang avait coulé. Son coude portait une trace rouge ainsi que le côté de sa hanche. Bonjour aux nouvelles ecchymoses ! Grimaçant, la Serdaigle s'habilla et retourna dans la Salle Commune pour y prendre ses affaires de cours. Des regards interrogateurs la suivirent. Oui, elle avait une tronche épouvantable après sa chute mais elle ne pouvait rien y faire. En fait, elle ne voulait rien y faire. Ce n'étaient que des éraflures de rien du tout, et ce n'était pas une petite bosse ou une ecchymose qui allait la tuer ! Le seul hic était la petite douleur qui accompagnait chacun de ses pas, la ceinture de sa jupe un peu trop serrée ravivant la douleur à la zone de la hanche. Il fallait bien qu'elle supporte ça, tant pis. Arrivée dans la salle de classe, à l'heure par bonheur, Célya salua le professeur Mkrovsk avec un sourire poli et jeta un regard en direction du tableau qui annonçait le sujet du cours. Celui-ci promettait d'être intéressant et la jeune fille oublia la douleur. Des cages étaient posées sur le sol, recouvertes d'un voile noir. La curiosité piquée au vif, la blondinette s'installa sur la droite, sans faire plus attention aux élèves présents. Les quelques visages qu'elle connaissait ne l'intéressaient pas ce matin, pour diverses raisons. La première était qu'elle n'avait pas particulièrement envie de discutailler. Posant le coude sur la table, la jeune fille eut un sursaut et gémit doucement. Mince. C'était son coude fraîchement blessé. Leiv KrigersenSerdaigle Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesLeiv Krigersen, le Jeu 14 Mai - 1840 Une journée, une soirée, une nuit, un réveil, un petit-déjeuner le tout enrobé d'un ennui mortel. Il ne lui restait plus qu'à espérer que le reste de la journée serait plus palpitant sinon elle allait rapidement s'endormir. Même les ragots entendus pendant le repas n'avaient pas réussi à la sortir de son état. Non, décidément rien d'intéressant à l' lorsqu'elle lut son emploi du temps l'excitation prit le dessus cours de médicomagie. L'une de ces matières favorites. Elle accordait une grande importance à cette matière fournissant de gros efforts pour se maintenir à niveau et être la meilleure possible. Les notes en elle-même l'intéressait peu, elle tenait surtout à savoir mettre en pratique ce que le professeur lui apprenait. À quoi cela servirait-il sinon ? Ce n'est pas les bonnes notes qui la sortiraient d'une situation délicate, non, mais savoir exercer des donc avec un sourire sincère qu'elle se dirigea vers le salle de cours, impatiente. Rien que dans le couloir menant à la salle, on pouvait entendre la voix des élèves se répercuter contre les murs en pierre du château, elle put d'ailleurs voir, certains pénétrer dans la pièce. Tout en accélérant le pas, elle remonta la bretelle de son soutien-gorge qui venait de prendre la fuite vers son épaule, elle nota dans un coin de sa tête de penser à la avec une idée idéalisé qu'elle pénétra dans le salle de cours. Évelyne ne tarda pas à déchanter et tout en remettant ses cheveux noirs derrière ses épaules, elle avança d'un pas moins enthousiaste vers le premier rang. Décidément l'ambiance était au rendez-vous entre ceux qui s'endormaient, ceux qui fulminaient et ceux qui...et ben, avaient le regard dans le vide cette journée ne pouvaient que s'améliorer. Journée de m*rde je vous dis !La jeune fille était tellement dans ses pensées qu'elle en oublia de saluer son professeur. Et s'en demander la permission prit place au premier rang à côté d'une Poufsouffle au visage disant je veux du sang, des tripes et des cris. Mouais ! Elle aurait dû l'observer un peu mieux avant de s'asseoir, voilà qu'elle se retrouvait piégé avec une psychopathe pour l'heure à venir. Elle s'attarda sur son visage puis elle comprit enfin ce qui l'intriguait des lunettes de soleil. Mmh pas très réglementaires tout cela, surtout avec le nouveau directeur qui accordait une grande importance au paraître. Si c'étaient des lunettes de vue, cela passe encore, mais de soleil ? Avec de la chance le mec baraqué devant le tableau ne dirait rien. Après avoir détaché son regard de sa camarade, elle posa ses yeux sur le tableau "Premières opérations médico-magiques." Ah ! Enfin quelque chose pour pimenter cette journée. Le cours promettait d'être instructif et elle avait hâte de découvrir ce que Mkrovsk leur avait préparé. Au vu des blouses, gants et lunettes, il y aurait sans conteste de la pratique. Un sourire ravit éclaira petit à petit son visage qui jusque-là était la représentation parfaite de l'ennui. Son visage entier se réveilla à la vue des cages mystérieusement cachées par un tissu noir. Elle avait hâte que le cours commence, oh que oui ! Invité Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesInvité, le Jeu 14 Mai - 2036 Après avoir bien rigolé, le jeune homme en troisième année d'étude à Poudlard décida de se calmer afin de ne pas énerver l'agressif personnage d'un mètre quatre-vingt, debout sur un chaise, les bras levés. Encore un mal luné qui avait du mal avec le relationnel, sûrement. L'agressivité ouverte était quelque chose de typique chez les personnes faibles d'esprit et Leister comprenait pourquoi ce minus avait été réparti chez les serpentards. Aucune surprise à ce qu'il aborde les couleurs vertes et argents sur sa cravate, du coup. Le bleu et bronze n'avait pas assisté au début de la prise de tête mais se doutait bien de ce qui s'était passé quand il entendait tant le prof' que Morgan s' était temps après toute cette animation plus que distrayante, de prendre place sur une chaise pour suivre le cours qui allait commencer sous peu. Lorsqu'il essaya d'avancer, il sentit une résistance au niveau de ses chaussures. Il ne parvenait pas à avancer son pied droit comme il le voulait. Il baissa les yeux pour voir ce qu'il se passait et constata que les lacets avait été joints pour faire tomber le sang-pur. La personne qui avait essayé de le faire tomber avait raté son coup et c'était mieux pour elle qu'il ne découvre pas qui était l'auteur de cette hilarante plaisanterie de bas étage. Cette personne pouvait en tout cas donner la main au gnome pour former le groupe des écervelés. Après avoir délier ses lacets, il s'installa comme il se doit sur sa chaise et salua enfin l'enseignant par un Bonjour M'sieur Mkrovsk ». Il sortit plume et parchemins pour prendre des notes et lut ce qui était annoté sur le tableau Premières opérations médicomagiques ! Cela voulait dire tout et n'importe quoi. Allaient-ils jouer les laborantins ? Ou tout simplement avoir un cours théorique ? Le minot ne se posa la question et attendit le début du cours. Lilith BeeGryffondor Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesLilith Bee, le Ven 15 Mai - 1513 LA d'Izsa accordéIzsa et Lilith s'était encore une fois inscrite au cours de médicomagie. Mais cette fois, Izsa savait que Lilith connaissait Rurik en dehors des cours. Enfin la raison "officielle" de l'Ordre n'était pas la vraie raison de son accointance avec le professeur Russe, mais ça, il valait mieux que son amie Serpy l'ignore le plus longtemps possible. Et puis de toute façon les deux jeunes sorcières avaient déjà assez de secrets à garder comme ça. Mais aujourd'hui l'ambiance était plutôt agréable entre les deux apprenties sorcière. L'une et l'autre s'étaient retrouvées dans la grande salle après le petit déjeuner, comme à leur habitude. Lilith ne pensait plus au bandage qu'elle avait au bras. La blessure par balle la baisait encore un peu souffrir, mais de devoir la cacher aux autres, elle en oubliait presque elle-même l'existence! Absorbées par leur discussion sur la manière de faire tourner en bourrique le professeur elles n'avaient pas vue le temps passer. Les deux amies avaient bien trop de responsabilités pour des jeunes filles de leur âge, et les moment de complicité et de franche rigolades étaient devenues un sas de décompression indispensable entre deux missions. Il ne s'agissait plus de faire courir le concierge de Poudlard maintenant... C'est Lilith qui la première eut la présence d'esprit de regarder sa montre moldue que son père lui avait donné. Une montre toute simple en métal argenté qui ne valait rien, mais qui avait le mérite de lui donner l'heure! Elle leva de grands yeux vers son amie et avant même que cette dernière ait le temps de lui demander ce qu'il se passait, elle l'attrapa par la manche, entre le rire et la panique. - Le cours de Médicomagie va commencer, et on a tous les couloirs à traverser! Ririk va nous faire une crise d'autorité si on arrive en retard. Et crois moi, il ne sera pas plus tendre parce qu'il nous connait, bien au contraire! La verte et argent n'eut pas le choix et se fit donc trainer dans la traversée du chateau par une Lilith à demi hilare. Bousculant quelques autres élèves au passages, les deux jeunes filles arrivèrent à l'heure. Le professeur était toujours sur la défensive, et une chemise sombre rehaussait son air mauvais. Cet air mauvais qui rassurait tant la préfète des Lions... Etrange vous avez dit? Izsa et Lilith étaient essoufflées, mais le sourire de la seconde ne disparaissait pas. Après cette course, son épaule lui lançait un peu, néanmoins elle fit tout son possible pour ne pas le montrer. Elle se massa légèrement le muscle autour de la blessure et son amie dont elle tenait toujours la manche de la robe. - Bonjourrrr Professeurrrr! l'élève téméraire - ou suicidaire selon les points de vue - s'était sciemment mise à rouler les R à la Soviétique. Pas très intelligent, mais les futilités de son âge lui permettaient de rester accrochée à la réalité. Elle étouffa un rire, et lança un regard désolée au Russe qui ne prendrait surement pas bien la boutade. Après tout, ils avaient frôlé la mort ensemble, mais personne d'autre n'était au courant... - On a eu peur de ne pas arriver à l'heure et de servir de cobayes! J'aimerais éviter de de me prendre une balle à retirer par mes camarades si possible. Même à l'aide de la magie. Bon, si tout allait bien, personne n'allait comprendre la référence à part Rurik. Elle laissa à Izsa le temps de saluer le professeur puis regarda la salle. Morgan le Pouffy était là , mais un peu pâle. Bof, pas marrant...Pourtant, La rouge et or s'approcha de lui et décida de s'installer pas trop loin du préfet des jaunes et noirs. Les autres élèves étaient indifférents à Lilith, et tant mieux. Izsa n'avait plus qu'à suivre le mouvement, et à s'asseoir à cote de sa camarade. Eileen I. HilswoodMDJ-G en formationHarryPotter2005 Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesEileen I. Hilswood, le Ven 15 Mai - 2218 C'était agréable de se retrouver avec Lilith après toutes leurs aventures récentes. La coupe de duel avait été éprouvante pour la jeune fille, mais c'était du pipi de chat comparé à un véritable combat où elle risquait sa vie. Ce qui leur était arrivé peu de temps auparavant, lors d'un mission de l'Ordre. La jeune fille s'était rendue compte ce qu'être Phénix signifiait réellement, et cela lui faisait peur. Pas une panique lui faisant perdre tous sens communs, une peur réaliste et sensé pour quelqu'un tenant à la vie. Mais cela n'entachait en rien sa détermination. Elle se disait simplement que Lilith devait vivre la même chose depuis plus de temps, et elle comprit son sentiment, lorsque elle lui avait annoncé qu'elle souhaitait rejoindre l'Ordre. Ensemble, elles étaient plus était tout aussi vrai à Poudlard. Les cours étaient un calme étrange, mais agréable. Et le cours de médicomagie allait être encore plus - maintenant qu'elle connaissait son prénom elle n'allait plus s'amuser à écorcher son nom - était une nouvelle recrue lui aussi. Est-ce que cela allait changer des choses à la façon dont les cours se dérouleraient ? Surement pas... Il était cependant amusant de se dire qu'Izsa l'avait précédé chez les Phénix et qu'elle était, dans une certaine mesure, son aînée. Ainée de cette armoire à glace, vous y croyez ?Elle fut soudainement surprise son amie qui lui faisait de grands yeux - Le cours de Médicomagie va commencer, et on a tous les couloirs à traverser! Ririk va nous faire une crise d'autorité si on arrive en retard. Et crois moi, il ne sera pas plus tendre parce qu'il nous connait, bien au contraire! Arg, la menace du russe dans une colère noir n'était pas pour ravir la jeune fille. Elle emboita le pas à Lilith, qui semblait morte de rire. La lionne était de bonne humeur, ce qui déteignait également vers la vipère. Un sourire amusé flottait sur ses lèvres, même s'il ne tint guère longtemps dans cette course poursuite soufflante. Une vraie plaie en sport, voilà ce qu'elle arrivèrent tout juste à l'heure, et alors qu'Izs crachait ses poumons elle entendit son amie s'adresser au russe. - Bonjourrrr Professeurrrr! On a eu peur de ne pas arriver à l'heure et de servir de cobayes! J'aimerais éviter de de me prendre une balle à retirer par mes camarades si possible. Même à l'aide de la magie. Toujours aussi insolente, se réjouissait Izsa. Certaines choses ne changeaient pas. Elle salua à son tour le professeur, puis suivit Lilith qui était déjà repartie. Une vrai pile électrique, cette regard de la vert et argent flotta jusqu'au préfet des Poufsouffle. Elle se souvenait parfaitement de la dernière nuit, dans la forêt interdite. Elle savait bien que l'évèenement dont il avait été la victime n'était pas anodin comment allait-il vivre cela ? Malena KaneSerdaigle Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesMalena Kane, le Sam 16 Mai - 1432 Je suis réveillé par les bruits des animaux dans les cages ou les discussions des passants arrêtés sur le chemin de Traverse devant les vitrines de la boutique. Encore à moitié endormi, ma tête pèse lourd comme du marbre tant j’ai bu de sommeil pendant la nuit, je lève les yeux vers le plafond de la pièce et respire ce doux parfum, mon parfum, qui va me bercer doucement vers le réveil. Il est encore tôt, il n’y a personne à la boutique ; ni mes jolies collègues, ni Finrod. Je n’ai pas envie de tomber sur lui, il me prendrait la tête à m’être endormi ici hier soir, et je n’ai pas envie de me prendre la tête avec lui ce matin. Je suis à allongé, seule ma tête est redressée, appuyée sur un je ne sais quoi de dur. Peut-être un sac de nourriture. Je resterai bien comme ça, pendant des heures, à me remettre de ma fatigue soudaine. Les dernières journées ont été éreintantes. Mais je sais bien, que bientôt, on percera cette bulle de silence dans laquelle je me confonds, dans laquelle je me rendormirai bien, je sais bien que je dois partir. Aussi, efforts après efforts, je suis levé, déjà agacé par la journée qui a remplacé la nuit. ***Une ou deux heures après. Aussi loin que mes pas perdus m’aient conduits dans Londres, je me retrouve néanmoins à fouler les couloirs de Poudlard. Après une marche sans but dans les rues, le cours de médicomagie auquel je m’étais inscrit quelques jours plus tôt, m’est revenu à la mémoire. Il m’a agressé si durement, que je n’ai pu l’éviter comme j’aurai aimé le faire. Je suis entré dans la salle, sans prendre la peine de saluer le professeur, ce grand gaillard costaud, costaud comme ça, comme un géant. J’ai cru voir une de mes collèges assises. Face, je crois. Bref, j’attrape une table solitaire, et me glisse entre elle et sa chaise. Face aux bruits atroces des autres élèves, je durcis ma bulle de silence. Ce cours ne m’offre qu’une seule perspective celle de l’ennuie. Lizzie CojocaruPersonnel de Poudlard Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesLizzie Cojocaru, le Sam 16 Mai - 2242 Nuit douce et profonde ; sommeil imperturbable. Réveil des plus naturels, vers cinq heures, la bouche un poil pâteuse, puis le flash. Une silhouette. Un rien, un tout. Inutile de se remémorer les traits de l’inconnu. C’est lui. La pulsion la reprend. Envie de fuite. Plus qu’une envie, un besoin. L’instinct de survie. Il est saoul, songe-t-elle. Et sa baguette non magique. Son souffle s’accélère. Ce n’était qu’un rêve. Frissonnant, la blairelle s’engouffre dans la douche. Vulnérable. Le liquide suffit à diluer sa peur plus sûrement qu’un des remèdes alcoolisés dont elle est pourtant si éprise. La lancinante brume du rêve se dissipe, ne reste que son esprit clair et vif. Ou presque. Il est cinq heures quinze quand Bennet quitte le dortoir. L’avantage du couvre-feu, quoiqu’il soit rare qu’elle le respecte mais l’insigne aide en la matière, est qu’il ne précise pas les restrictions relatives à l’heure du lever. Laissant des possibilités de vagabondage relativement peu limitées. Loin de ces saletés d'élèves soumis, tradis, et chouineurs, c'est tout ce qui jaune et noire s’engouffre entre les salles de classe, à la recherche d’informations compromettantes, puis au bout d’une heure de fouilles se dirige -toute de Kaleidem vêtue- vers la bibliothèque. Les runes Furthark, par Arthen König. Peut-être y trouvera-t-elle la réponse à l’étrange symbole dessiné à la craie par Lestrange l’autre fois ? Après l’avoir feuilleté de long en large, tapie dans l’obscurité des rayons déserts, Bennet se résout à la pensée que quoique la Eihwaz soit la plus proche de ce qu’elle ait observé, elle demeure moins complexe que son ami avait tracé. Elle lit l’annotation apporte résurrection, le passage à un nouvel état, le surpassement de ses limites. » Assez cohérent vu qu’elle songeait l’avoir interrompu en pleine nécromancie. Mais qu’étaient les traits manquants ? Frustrée, la préfète repose l’ouvrage et s’en retourne vers le Parc, où elle s’exerce à jeter un Sphaera ignis dont les résultats sont tout aussi peu probants. Elle a tout juste le temps d’attraper une pomme dans la Grande Salle, qu’elle grignote au détour d’un couloir, puis son horloge interne naturellement retardataire lui indique que le temps presse. Entrant en saluant d’un signe de tête le russe, la peu pouffy pouf pouffe en apercevant son collègue en solo. Il faut dire qu’elle le préfère en faux-taciturne solitaire. A minima, il perd le côté bisounours-conventionnel-qui-poupoute-tous-les-première-année. M’enfin. Il reste Delabruti quoi, se moquer de lui n’est pas un luxe. La septième année reconnaît aussi Shake et McKinley, Lau et cette pétasse de Lamewood -sur laquelle un Hysteriauricule est automatiquement informulé, simple formalité-, ainsi que le duo qui remonte le QI de cette salle Izsa et Lilith. Sauf qu’elles sont à côté. Bon. Allez, on se sociabilise ? Non, poussons pas. C’est pas son genre. Par contre, y en a qui a l’air de s’ennuyer ferme Kane. Pas très passionné par la perspective d’opérations magiques sur des animaux ? Ça a l’air assez cool pourtant, sachant que les prochains bénéficiaires » de leurs sorts pourraient être humains. A moins que le russe ait casé des nains dans les cages, mais vu qu’il y a un élève inconnu au bataillon concerné par le nanisme, ç’aurait été délicat. Après, le serpent en question a l'air enragé, donc peut-être sont-ce vraiment le matos du cours ? Ou des elfes peut-être ? Quoiqu’il en soit, Bennet s’approche de l'élève bleu et bronze aux traits efféminés. Ille paraît par le boucan du troupeau en rut, et c'est compréhensible. Elle-même peine toujours à les supporter, même s'ils le lui rendent Tu es ? fait-elle en s’asseyant à ses côtés. Re Cours n°3 Premières opérations médicomagiquesContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Harry Potter 2005 ~¤~ Pré-au-Lard ~¤~ Rues de Pré-au-LardAshton ParkerLégendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Dim 24 Juin - 1928 Le charme d'Ashton fit comme prévu son effet très rapidement. S'il était du genre à se vanter il aurait pu dire qu'au fil du temps cela devenait lassant et qu'il aurait parfois préféré avoir un peu de challenge, mais ce serait mentir et il n'était pas un menteur. Le sorcier appréciait volontiers les facilités que la vie lui avait accordé au niveau de la séduction entre autre. C'était probablement grâce à cela qu'il avait pu répandre aussi facilement ses gènes. En même temps ce n'était que justice qu'il possède quelques qualités élémentaires pour contrebalancer son passé sombre et mystérieux. Ce n'était pas facile tous les jours d'avoir perdu toute sa famille dans un incident tragique comme cela avait été son cas. Heureusement que l'une de ses sœurs avait survécu, même si elle était actuellement encore dans le coma en attendant d'être réanimée pour des besoins narratifs. S'il y avait bien une chose qu'on ne pouvait pas reprocher à Ashton c'était d'avoir su aller de l'avant malgré les difficultés. Cette capacité, il la devait probablement à son QI de 287 qui lui avait permis d'obtenir ses ASPICs sans mal alors qu'il avait manqué la moitié de sa dernière année à Poudlard. Mais revenons-en à nos Prépare-toi à passer la meilleure nuit de ta s'était approchée et venait à présent de s'installer à califourchon sur ses jambes. C'était une situation qui convenait plutôt très bien à l'ex-Gryffondor même s'il ne s'attendait pas à ce que son regard charmeur fonctionne de manière aussi efficace. Le sang-mêlé trouvait cela un peu louche la rapidité avec laquelle la jeune femme avait décidé qu'il n'était pas un danger mais elle avait beaucoup de charme et il n'allait pas s'en plaindre. Naturellement, Ashton se rapprocha d'elle avant de l'embrasser comme elle n'avait jamais été embrassée. De rien, c'était un cadeau de sa part. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Jeu 28 Juin - 1313 Alors j'étais à l'aise sur ces jambes, de toute façon nuls doutes que si il était un danger, il me faudrait moins de trois secondes pour le plaquer au sol et le livrer aux autorités mangemorts, parce qu'ils étaient tous mes amis super dark, on se retrouvait parfois le soir sur des terrains vagues pour souffler nos mèches en écoutant de l'opéra, le tout en fumant des cigarette Vogue aussi longue que le nez du masque de voilà l'union des lèvres roses pâles et piquante que bien peut pouvaient toucher de cette façon. Parce que les embrasser c'était comme effleurer une fleur empoisonnée. S'approcher de moi ne garantissait pas la vie, parce qu'il y avait toujours cette colère noir qui grondait en moi, symbole d'une multitude de frustrations dû à mon enfance passée enfermée dans les bibliothèque à accumuler beaucoup de savoir, car 'javais eu bon espoir de devenir professeur à l'âge de neuf ans, mais il parait que cela m'était impossible tant que ma majorité n'avait pas été coupje me laissealleren pensant en goutteen saut de ligne parce qu'il parait que ça accentue toute ma noirceur. Son baiser est passable, mais je le rends avec d'avantage de fougue, parce qu'il lui est interdit de me surpasser dans quelque domaine que ce soit, de toute façon il se rendra bien compte un peu plus tard que cela lui est impossible. Alors en l'embrassant je cherche où j'ai pu voir son visage. Puis je comprends, je me souviens. alors je commence à sourire en passant son tee-shirt par dessus sa tête. Car il a au moins le mérite d'être tout aussi ténébreux que moi. Ashton ParkerLégendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Jeu 5 Juil - 2308 Parmi les miracles divins encore visibles au vingt-deuxième siècle, on pouvait compter les fois où une semaine de grand beau temps à Londres s'enchaînait avec une autre semaine de grand beau temps, les fois où un directeur de Poudlard ne mourait pas dans des circonstances dramatiques en cours de fonction, et évidemment Ashton Parker. Il essayait du mieux qu'il pouvait de rester humble malgré sa condition mais c'était parfois bien difficile. Même pour son entourage, cela avait dû être terriblement dur de vivre et mourir constamment dans son ombre. Il savait d'ailleurs très bien qu'à sa naissance sa mère avait pleuré parce qu'elle savait déjà qu'elle ne serait jamais meilleure que lui, la pauvre. *signe de croix en levant les yeux au ciel*Il en allait de même pour les différents partenaires du sang-mêlé. Il lui arrivait de temps à autre de prendre du bon temps mais la plupart de ses conquêtes devaient avoir un arrière goût amère en pensant au fait qu'il ne connaîtraient plus jamais un aussi bon orgasme de leur vie. Parfois, lorsqu'il lui arrivait de s'ennuyer entre un méfait particulièrement malicieux et une apparition publique éblouissante, l'ex-Gryffondor pensait à tous ces gens qui croisaient son chemin et dont la vie serait à tout jamais en parlant de Gryffondor, ce n'était pas pour rien qu'il était allé là -bas puis que c'était la maison dans laquelle on retrouvait tous les sorciers aux pouvoirs et talents hyper cheatés et agaçants comme lui. Pour en revenir à l'action du moment, Ashton venait de donner le meilleur baiser de sa vie à une inconnue qui le lui rendait assez acceptablement. Elle ne pouvait d'ailleurs pas s'empêcher de lui enlever son t-shirt, ce qui paraissait normal puisqu'elle souhaitait admirer son magnifique torse. Le sorcier fit de même pour le haut de la jeune femme avant de retirer son soutien-gorge en quelques instants parce qu'il était trop doué et que s'il avait voulu il aurait largement pu le faire même sans les mains. Et puis bon il fallait bien admettre que sa conquête du soir valait le détour. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Dim 8 Juil - 1623 Il est des choses inoubliables, éblouissantes, si déconcertantes qu'on oublie de les saisir dans l'instant et que l'on regrette. Il était très clair que l'inconnu regretterait à jamais de n'avoir pu me saisir et me garder à ces côtés toute sont existence afin d'avoir au moins le privilège de vivre dans l'ombre majestueuse qu'est la mienne. Mais je suis insaisissable, j'ai de nombreux de part mes performances exceptionnelles, mais personne ne peut toucher mon cœur de glace. Il a été brisé parun amour impossible et au moins tout aussi dramatique d'une tragédie shakespearienne. Voilà ses mains qui glissent sous mon haut et entreprennent de me l'ôter, et je pense une seconde à le prévenir que mon torse pâle l'éblouira à coup sûrs, tant de splendeurs que de ces cicatrices multiples qui me font paraître si badass. Il y avait en effet de quoi être mille fois admiratif. alors j'expose mes fêlures pour montrer que j'ai beau être un être torturé et sombre, je suis aussi sensible. J'ai l'air de rien des faiblesses qui cependant me présentent toujours à mon avantage trop trop sexy, trop Je suis cellui qui aurait pu inspirer le personnage de Bella Swan si j'étais à la bonne époque. Le corps se fait féminin alors que les étreintes continuent, disparition de la bosse contraire à ce que l'on veut appeler l'ordinaire. Mais je suis parfaite, jamais trop excentrique, toute est une histoire de juste mesure. Et voilà mon torse nu que je le laisse effleurer, car il n'en aura l'occasion qu'une seule fois dans sa vie. Mes mains continue à parcourir son dos et son ventre, parce qu'il faut reconnaître que le détour vaut le coup aussi de ce côté-ci. Les lèvres continuent à chercher les siennes alors que mon pantalon tend à disparaître. Il y a cette fougue à vouloir exposer ses talents. profite, je suis inoubliable et tu ne me rattraperas jamais. c'est vrai je suis sauvage au fond, j'attire les gens avec mes mystères, ils frôlent la glace de mon cœur et deviennent accro à moi. Meilleur façon de se créer une cour chez les élèves et les autres dans laquelle tout le monde se dispute mes faveurs. Ashton ParkerLégendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Mer 11 Juil - 1524 A présent qu'il était torse nu, sa partenaire pouvait admirer la grande cicatrice qu'il arborait sur le flan. Cela montrait qu'il avait du vécu de badass, qu'il ne fallait pas le chercher sinon il serait capable de se battre sacrément violemment. Cette cicatrice il se l'était fait en tombant de son balai en cinquième année en combattant un ours polaire à mains nues. La seule raison pour laquelle il ne l'avait pas achevé était que son espèce était menacée par les moldus et qu'au fond c'était un mec en revenir à l'action qui se déroulait en ce moment même, les vêtements étaient à présent bien plus présents sur le sol que sur eux et c'était mieux comme cela. On pouvait largement mieux admirer le corps digne d'un dieu grec d'Ashton lorsqu'il n'avait rien sur lui. Certains haters diraient que sa plastique de rêve était à cent pourcent fake étant donné qu'il avait entièrement remodelé son apparence à l'aide de la Métamorphomagie mais lui considérait que c'était plutôt l'inverse puisqu'il avait fait tout cela lui-même simplement grâce à son Profite, je suis inoubliable et tu ne me rattraperas n'était pas Occlumens faculté qu'il avait d'ailleurs appris en autodidacte comme un bg, Parker aurait juré que sa conquête du soir lisait dans ses pensées. Certes elle était pour l'instant un excellent coup mais bon, de là à la qualifier d'inoubliable le sang-mêlé ne se prononçait pas étaient à présent passé aux choses sérieuses et Parker envoya balader d'un geste de la main les cousins qui encombraient le canapé afin qu'ils aient la place de s'y étaler. Tout en embrassant fougueusement la propriétaire des lieux, le sorcier changea de position pour se retrouver au-dessus d'elle. Il devenait difficile de réfléchir dans le feu de l'action mais en parlant d'inoubliable, la personne collée à lui commençait à lui dire quelque chose. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 23 Juil - 103 tw - sexeLA de Ashton accordéLes choses s'accélèrent et j'en ai presque la tête, tant ça fait longtemps que je ne l'ai pas fait avec quelqu'un capable de satisfaire mes désir si élevés. Alors quand tu bascules au dessus de moi en m'embrassant, je comprends. Il y a quelque chose dans ta gestuelle que je connais déjà mais que je ne comprendrai que plus tard. Parce que pour l'instant y a mon dos qui se cambre alors que tes lèvres descendent parce que ça fait longtemps qu'on s'est pas occupé de moi ainsi. Le cou, le ventre, tes lèvres suivent le cours de la cicatrice jusqu'à mon aine, puis descendent plus bas encore. Comme si ta bouche avait le don de lire et que je sois ton livre favori. Trouve la page que tu préfères dans la douceur de mon écrin et lis-la attentivement, avec fluidité aisance et enthousiasme. Ne t'avise pas d'omettre un seul mot et je jure que le dénouement sera exquis. Les mots vont jaillir, recouverts de miel ambre. Couler sur tes lèvres. Et quand tu n'en pourras plus assieds-toi. Parce que ce sera mon tour de jouer de la musique avec toi, les genoux comme souvent s'égratignant au sol. Mais avant que je me redresses, alors que tu seras assis, il y aura l'interrogation unique un Parker ? entrecoupé par le souffle saccadé. Parce qu'il n'y avait qu'une seule personne capable de m'égaler dans tout ce qui touchait au plaisir charnel. Je le savais. Et puis cent fois sur le métier, je remettrai mon ouvrage, mes lèvres trouvant à leur tour ton corps, en dessinant les contours d'abord pour mieux saisir et comprendre la complexité de cette nouvelle apparence. Je te trouverai mieux comme ça, il y avait d'avantage de douceur dans tes yeux, d'avantage de courbures sur tes hanches. Alors je descendrai encore, te rendant la monnaie de ta pièce, les lèvres dociles et agiles, et malgré la répétitions des gestes une nuit après l'autre sur des inconnus avides d'eux même, il y aura ce soir la réelle envie de te donner du plaisir. Parce qu'avec toi il y aura l' que je garde un excellent souvenir de notre dernière nuit ensemble. Ashton ParkerLégendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Mer 29 Aoû - 1803 LA de Shae pour clôturerIl devenait à présent difficile pour Ashton de garder la tête froide, malgré son QI exceptionnel on pouvait quand même dire qu’à présent la majeure partie de sa réflexion s’effectuait avec son entrejambe. Il avait cependant la satisfaction de voir que sa partenaire semblait apprécier ce qu’il faisait, preuve qu’il n’avait pas perdu la main et qu’il était toujours le meilleur coup du pensée persistait pourtant dans l’esprit du Métamorphomage. Il avait comme une sensation de déjà vu bien qu’il soit certain de n’avoir pas rencontré l’inconnue avant ce soir ; quelqu’un comme ça ne s’oubliait certainement pas. C’est alors que, au milieu de l’action qui unissait leurs corps, elle prononça son nom bien qu’il était certain de ne pas lui avoir donné plus tôt. Et soudain cela fit clic dans son esprit, les pièces du puzzle s’assemblant Keats ? demanda-t-il dans un fois leurs ébats terminés, alors qu’il reprenaient leurs esprits, toujours allongés sur le canapé, la propriétaire de l’habitation lui expliquait qu’elle était bel et bien la personne qu’il connaissait auparavant sous le nom de Leo. Coïncidence incroyable c’est fou comme le monde est petit ! elle était aussi Métamorphomage et se prénommait à présent Shae. Bien évidemment Ashton lui expliqua également ce qu’il lui était arrivé. Tout compte fait le destin avait bien fait les choses et il était ravi d’avoir recroisé la route de du RP Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 12 Nov - 1129 Pv FilsLa nuit n'est jamais complète, au bout de chaque antre bleue se reflète une fenêtre. Rebord de bronze, ou de rouille, on a oublié depuis le temps, mais peu importe. Il y a au bout de la nuit, juste après un énième mauvais rêve du chiard, une ouverture sur le dehors. L'extérieur guère plus clair que ne l'est la lucidité matinale, obscurcie par la fumée que crache à pleins poumons la cheminée délaissée depuis le retour sur le sol fenêtre éclairée où un rêve veille toujours. L'âme vivante se réapproprie peu à peu les lieux. Les murs s'imprègnent de la nouvelle maîtresse du fort alors que rien n'est officiel. Il n'y a que l'odeur du dimanche matin hivernale, du froid et de cendres sur la petite bourgade dont le corps exquis n'était pas encore parvenu à franchir le seuil. Deux ans et demi trop tard. L'existence du hasard préférée aux rendez-vous, j'attendais, un quart de thé sur les lèvres, le dernier sur les genoux. Le jour pâle ne tarderait plus, mais nul bambin à enterrer à l'aube. À l'heure où blanchit la campagne il ne se passera rien, les drames se sont volatilisés entre moi et ici. Il y a pleus qu'une nouvelle routine à se forcer à avaler, jusqu'à en trouver le goût un tant soit peu supportable. La crainte du matin a remplacée le dimanche soir. Âpreté des lever du jour, sans comprendre pourquoi lui se lève quand l'autre tombe passé dix-sept heures. Le nuit guillotine qui s'abat sur la conscience et berce dans un pays où les paroles n'ont plus lieux d'être. La communication imagée, et rien n'a la moindre importance. Porte d'ébène refusées à l'éphèbe, assis sur sa chaise, un thé en main. Celle qui ce matin se contentera des cendres, de la nausée délicieuse de n'avoir point assez dormi. La gueule de bois sans avoir bu et les délices de la sobriété fragile et toute nouvellement acquise. Le manque-chaleur, le manque fournaise, l'impression que le creux remplace l'oxygène. Et le Hodor le fils perdu. Perdu en même temps que le miroir. Le Pinnochio joueur noyé dans les éclats de verres. Le fils à qui l'on aurait dû dire, mais à qui on ne dira pas. La peur d'en mourir pour des mots prononcés bien trop bas. Lïnwe FelagündRéférent Maître de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLïnwe Felagünd, le Mer 12 Déc - 2133 SURFACE DURE — pv. dans les rues de Pré-au-Lard comme si c'était Paris, New York ou Copenhague. Les briques rouges se remplissent de brume à la javel et blanchissent lorsqu'on les passe à la lumière du crépuscule. La lune danse sous les étoiles ce soir. Début de soirée. Une bouteille vide de whisky traîne comme un vieux mort entre les pavés et la bouche d'égout. — Il y a un énorme fossé entre ce que l'on est et ce que l'on croit espoirs de retrouver son Elhëna vont de désillusions en désillusions. Il sait qu'elle a irrémédiablement changé, qu'elle n'est plus du tout comme avant et pourtant, il se l'accorde pour la première fois c'était peut-être une erreur. Le pire dans tout ça, c'est qu'il n'a pas l'air d'être peiné par cette sensation si terrible, suffocante et terrifiante. Non. Plus rien ne le traînera vers le fond, parce qu'il y a passé tout son temps et qu'il sait comment sortir de là . Le visage aussi froid qu'un glaçon de neige, le regard et la mâchoire qui se durcissent. Les yeux qui croisent une lumière brisée à travers la vitre d'une habitation qu'il croyait abandonnée depuis des pour l'intrusplutôt que le sixième année sort sa baguette, une nouvelle d'ailleurs, qu'il a renommée Ontamo. Celle qui créé. Celle qui sculpte. De sa main d'artiste, la création est née. Elle est aussi spéciale que lui, aussi unique. Aussi élégante. Aussi délicate et redoutable à la fois. L'esthétisme est assez incroyable, entre le cœur et le corps. Traverser le portail à pas de chat. De son autre main, il rentre par effraction avec son canif magique - place à l'humeur fracassante. La tempête. Qui risque d'éclater, dans la salle à têteUne tête bien trop connue pour être sienne est une surface comme un bout de bois, de glace ou d'effroi masque de tufais là . Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Mer 26 Déc - 1455 Le serment a en soit été célébré. Nulle dérogation aux mots ni aux attentes Disparaître n'est pas trahir. C'est s'écarter, laisser la place à une autre entité qui supporte les matins d'hiver. Qui n'utilise pas la vapeur de son thé comme paravent pour se cacher du monde. Nul refuge non plus derrière l'âpre de la cigarette à moitié consumée. Celle qui outrepasse à peine ses droits en se répandant en miettes de soi dans l'atmosphère. Ostensoir improvisé pour célébrer un retour à une vie dans laquelle l'être se cantonne. Le gris avale tout sur son passage, bientôt recouvert de couleurs froides alors que l'aube point. Insupportable de lenteur. Une fois le soleil apparu, tout sera plus simple. La maisonnée insupportable de silence s'animera un peu. Mais il y a un silence religieux dans l'attente de la vie et du réveil des paysages. Un silence que la voix qui s'étrangle dans la gorge ne parvient à briser. Qu'accompagne la nausées des nuits trop blanches lorsque les jours noirs sont refusés par les qu'on aura tout le temps de rattraper ses nuits une fois les deux moustiques lâchés au monde. Il ne neige plus sur les tables non plus, la sobriété accompagnée d'une réalité fade. Plus de poudreuse ni de flocons survivants au milieu des traces de doigts. Ne plus confondre les molécules avec l'atmosphère. Il semblerait qu'il s'agisse de grandir. Ne plus se perdre dans la poussière de l'autre bout d'un monde. Et commencer à bâtir dans la qui grince- tranche en pointe métallique dans le silence gris et vie. vie qui s'immisce par la porte quand on ne l'attend plus. Celui à qui on a pensé mais à qui on a rien dit. Ne pas trop savoir quelles excuses présenter. Incapacité à dire le vrai car admettre avoir voulu tendre une main que l'on a toujours présenté tremblante sous ce visage-ci. Question évidente et réponse tout autant. On est rentrés. Les gosses se construisent pas tous seuls. Lïnwe FelagündRéférent Maître de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLïnwe Felagünd, le Lun 7 Jan - 1341 SURFACE DURE — pv. est surpris mais il ne le montre pas. Il n'est plus du genre à laisser ses pensées intérieures immerger son visage pâle. L'envie de tout lui balancer à la gueule aussi, qui le prend aux tripes. Une nausée qui survient - tant par la colère que pas la douleur. La douleur d'une perte. D'une absence. Parce qu'iel était sans accord, sans rien et sans bruit dans la nuit morte. Laissant derrière iel, deux pauvres employés aux Trois Balais. C'était pas censé être un cocon familial, ce truc ? Tout à l'air plus triste ici. Une maison laissée forcément à l'abandon pendant tout ce temps. Et les petits, dorment-ils sur de la paille ? En tout les cas, ils sont toujours bien vivants, bien là . Les gosses ne se construisent pas tout seuls et pourtant, iel avait fait son choix à l'époque, de fuir l'établissement, le village, la région, le pays et toute cette m*rde qui colle à la peau. — Depuis quand ? Depuis quand sont-ils revenus ? Ce n'est que la première fois qu'il voit de la lumière par ici, comme si quelque chose n'allait pas. Comme si quelque chose clochait. N'était pas normal. Une étrange lumière. Une lumière sans vie. Malsaine. Hypocrite. Qui attend quelqu'un, quelque chose, un espoir. Inexistant. Il bouillonnait Il bouillonnait sur placecomme une marmiteun chaudron aux parois lisses et douteuses qui ne laissentparaître aucune réflexion. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 18 Fév - 2214 Retrouver l'enfant prodige coincé entre les aiguilles d'un matin gris, d'une nuit blanche et d'un jour noir. Poser la tasse un peu plus loin parce que les paratonnerres ont été laissé là -bas, où que cela puisse être. L'envie d'incarner un instant un philippides, de fuir les non-mots électrique que la nausée et les silences portent, se fait sentir. Mais l'aller-simple pour l'ailleurs n'a même pas réussi à se suffire. Il a fallu courir, en sens arrière, pour venir remonter l'horloge qui elle n'a jamais pu s'ancrer ailleurs. Les respiration paisibles de l'étage ramène les considérations à des tons plus bas, et si elle s'en réjouit elle n'en dira rien, il n'y a plus d'énergie pour les cris, les éclats de céramiques sur la langue. Nul avis à attendre concernant un choix qui n'appartient qu'aux trois branches du même saule déraciné. Electron libre, qui tente toutes ses folies avant de fixerl'inavouablel'idéal de sagesse. User les souliers, perdre la muse, elle se perd en mille barrage de liège et oublie le tronc même de la ronce, la présence de l'enfant qu'il faudra cesser de voir comme tel. Car les grains s'amenuisent et les esprits changent, elle réalise qu'elle ne connait plus ce qu'elle n'a jamais prétendu connaître. Elle s'interroge sur les crises de fronts, si l'enfant à réussi à prendre soin sans l'ombre pantin qui l'entourait. L'ombre malsaine mais qui crée des monstres de terre pour remplacer les autres en vain. L’œil unique du loup ne parvient à saisir l'histoire que les interrogations envoient. Et l'interpellation muette reste en suspend. Énième pièce de Beckett, bien que l'envie de rejouer les beaux jours se perde en idéaux plus confortables. Mais le silence couvre la scène de son suaire que le regard ne supporte pas. Et il y a dans les fondations mêmes des liens quelques chose qu'elle n'a pas su préserver. Les voûtes d'ogives se sont peu à peu émiettées en remords d'un côté et en reproches de l'autre. Bien trop peu de temps. Mais l'esprit du vaisseau-mère n'est pas reconnu pour sa rapidité. Et les réalisations mettent un temps à prendre leur sens. Lïnwe FelagündRéférent Maître de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLïnwe Felagünd, le Jeu 14 Mar - 2031 SURFACE DURE — pv. regard livide. Tête penchée. Le cerveau ne fonctionne plus comme avant, le cœur non plus. L'âme s'est modelée différemment, en une sorte de coulis de miel généreux et malléable. Plus rien ne lui ressemble. La colère lui grimpe des chevilles aux racines de cheveux clairs - sans en émettre le son vulgaire. Une formule qu'on dit bien trop souvent. Il a cette incapacité à assumer ses émotions, bien plus que ses actes. Un roman décousu, voilà leur relation établie jusqu'à maintenant. Qu'en est-il du Leo de jadis ? Qui riait dans les couloirs de l'école. À outrance. Qu'en est-il de ce grand garçon qui lui a tout appris lors de son intégration ? Qu'en est-il du parrain spirituel qu'il avait réussi à trouver au début ? Et du directeur de maison ? Du concierge ou du gardien ? De son ami ? Qu'est-il devenu ? Pourquoi est-il si étranger aujourd'hui ?Le rythme cardiaque décélère au fur-et-à mesure de la conversation absurde. Elle se fait sourde et muette, Beethoven et l'enfant pauvre boivent tous deux leurs paroles insensées. Il n'y a plus grand chose à dire parce qu'il n'y a plus grand chose à faire. Je pense que je vais partir. Allait-il seulement réagir ? Re [Habitation] The Sphinx's RiddleContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
"Combien de femmes, excédées et épuisées par des nuits blanches à côté d'un moteur diesel 84 dB en pyjama ont fini par poser un ultimatum à leur bien-aimé?", s'amuse Paccionitoli. Getty Images/Tetra images RF Si le ronflement peut être un symptôme de quelque chose de plus grave, la première victime n'est généralement pas le ronfleur lui-même, mais la personne qui partage son lit. Combien de femmes, excédées et épuisées par des nuits blanches à côté d'un moteur diesel 84 dB en pyjama ont fini par poser un ultimatum à leur bien-aimé? Mesdames, likez cet article si vous vous reconnaissez... Moi, j'ai eu le nez passablement détruit par un accident de vélo étant petit, puis par la pratique d'arts martiaux, j'ai bien moins de 50 ans et il m'arrive pourtant de ronfler aussi. Je n'atteins pas encore le stade de l'avion à réaction, peut-être seulement celui d'un monomoteur à hélice ce qui est déjà pas mal, mais le sujet m'a suffisamment ennuyé, et on m'a suffisamment mis de coups d'oreillers pendant la nuit, pour que je me renseigne un peu sur le pourquoi du comment. Et j'ai trouvé des réponses sur l'origine du mal. Le bruit provoqué par le ronflement vient de la vibration des tissus de la gorge. Ces tissus vibrent parce que le passage de l'air au fond de la gorge, au lieu d'être laminaire, devient turbulent. Les deux principales causes de ronflement sont la surcharge pondérale, qui épaissit les tissus de la gorge et rend plus difficile plus turbulent le passage de l'air, et la congestion nasale le nez bouché, qu'elle provienne d'une déviation de la cloison nasale, d'une sinusite ou d'un simple rhume. En fait, tout ce qui peut venir perturber le passage de l'air dans le nez pourra jouer un rôle direct ou indirect dans le ronflement. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Deux autres facteurs sont susceptibles d'agir sur le ronflement. 1 Dormir sur le dos, car cela favorise l'affaissement par gravité des tissus mous de la gorge, et, là aussi, l'apparition d'un flux d'air turbulent. 2 Consommer de l'alcool le soir, puisque l'alcool agit comme un myorelaxant qui va "ramollir" les muscles et les tissus de la gorge donc compliquer le passage de l'air. Comment moins -ou ne plus- ronfler ?Nous entrons là dans le vif du sujet. Mille et un sites internet sont consacrés au sujet, certains suggérant des solutions plus proches du vaudou que de la science ou du bon sens. Ici, nous allons privilégier les solutions de bon sens, logiques et simples. On l'a vu plus haut, le ronflement est dû à la vibration des tissus de la gorge. Pour ne plus ronfler, il faut donc faciliter la circulation de l'air dans tout l'appareil respiratoire pour empêcher au maximum cette vibration de s'enclencher. Voici 3 techniques faciles, logiques et efficaces, dont deux m'évitent déjà moult coups d'oreiller durant la nuit 1. Perdez du poids ne serait-ce que trois ou quatre kilos. Si vous êtes en surpoids, ce sera une solution radicale et très souvent suffisante. Je ne dis pas que c'est la solution la plus simple, mais si vous êtes en surcharge pondérale, vous aurez beau dormir sur le côté, cela ne changera rien. En revanche, en perdant quelques kilos, les tissus de la gorge deviennent moins épais moins "gras" et l'air circule tout simplement mieux. C'est logique. 2. Débouchez votre nez. Cela permettra à l'air inspiré de rencontrer moins de résistance. Pour ma part, avec mon nez abimé depuis l'enfance cloison nasale déviée et sinusite chronique, c'est ce qui m'a beaucoup aidé pour arrêter de ronfler. On m'avait parlé d'opération chirurgicale, mais deux spécialistes réputés se sont contredits mutuellement à mon sujet, donc j'ai préféré éviter. Du coup, je dois remercier mon ORL, puisqu'il m'a fait essayer une nouveauté technologique que je ne connaissais pas un dilatateur nasal. On a l'air plutôt moche avec, mais comme il est fait pour être porté la nuit, au final ça ne dérange pas, et, pour moi en tous cas, ça marche très bien. 3. Dormez sur le côté. Cela évitera aux tissus mous de la gorge de s'affaisser et de "fermer" le passage de l'air. Pour plus de confort, pliez votre oreiller en deux s'il est fin, sinon ce n'est pas la peine pour maintenir votre tête droite, dans l'axe de la colonne vertébrale vous n'aurez ainsi pas mal aux cervicales au réveil. C'est tout bête, mais c'est en pliant mon oreiller que j'ai vraiment mieux dormi dans cette position. Au sujet de dormir sur un côté ou un autre, j'ai entendu que dormir sur le côté droit permet au coeur d'être moins "compressé" que lorsqu'on dort sur le côté gauche. Après quelques recherches, j'ai effectivement découvert cette étude de 2003 de l'American College of Cardiology, reprise par le New York Times, qui semble confirmer qu'il vaut mieux dormir sur le côté droit, particulièrement en cas de problèmes cardiaques. En résumé, pour sauver votre couple, perdez 3 ou 4 kilos, débouchez votre nez, et dormez sur le côté droit! Et si l'un d'entre vous a testé la technique de la balle de tennis cousue dans le dos du t-shirt pour se forcer à dormir sur le côté, peut-il nous en faire un compte-rendu dans les commentaires? Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine Buéno*ChroniqueJean-Laurent Cassely
Lorsque vous êtes en couple vous avez tendance à attendre de votre partenaire que ce dernier ou cette dernière effectue certains gestes tendres envers vous, pour vous faire plaisir. Il s’agit d’une réaction tout à fait logique quand vous vivez une relation amoureuse néanmoins cela doit se faire dans les deux sens. Les gestes d’amour sont très importants et ne doivent pas se faire rares dans un couple car la tendresse tout comme la proximité sont des clés de l’épanouissement et de la complicité et malheureusement de nombreuses personnes l’oublient. En plus de le rappeler verbalement à son partenaire que l’on tient à lui/elle il est nécessaire de lui apporter davantage. Les signes d’affections dans le couple ne sont pas simplement des gestes de gentillesse mais ce sont aussi le reflet de votre amour pour celui ou celle qui partage votre vie. L’importance de la tendresse dans un couple Beaucoup de personnes ne se rendent pas compte que les signes d’affection dans le couple sont d’une importance capitale et qu’il ne faut pas les négliger. Demandez-vous un instant ce qui différencie les simples amis du couple. Comment un couple peut se différencier dans la foule ? Tout simplement par des gestes de tendresse l’un envers l’autre. C’est la preuve de votre amour, que vous êtes dans une relation. De plus les moments d’affections dans le couple peuvent vous permettre de surmonter les périodes difficiles. Les bras de son partenaire sont un moyen de se sentir réconforter quand on en ressent le besoin. C’est donc votre implication dans la relation qui est reflétée à travers les signes d’affection dans le couple. Vous pouvez rassurer votre partenaire sur les sentiments que vous lui portez. Car si la présence de gestes tendres est positive, leurs absences peuvent avoir des conséquences négatives sur le couple. Votre partenaire pourrait le prendre comme un manque d’amour, une baisse des sentiments ». Les différents signes d’affection dans le couple Comprendre la définition de l’affection est important pour savoir quels sont les meilleurs signes d’attention à faire à votre conjointe. L’affection c’est bien sûr les bisous, les câlins, les mots doux susurrés à l’oreille de son partenaire. Mais ce n’est pas tout vous pouvez vous montrez plus proche de celui ou celle qui partage votre vie. Il y a aussi une manière moins directe » pour avoir des signes d’affections dans le couple. Mais dans ce cas, il s’agit plus d’attitudes ou d’un comportement. Ce ne sont pas seulement des gestes mais bien une manière de se comporter avec votre partenaire. Les signes d’affections dans le couple ne sont donc pas uniquement tactiles. Il faut être à l’écoute, disponible, s’intéresser à ce que vous raconte votre moitié. Toutefois, bien que les signes d’affection dans le couple soient importants il ne faut pas non plus en abuser car ils pourraient alors se retourner contre vous. Ne réclamez pas des bisous ou des messages à chaque instant à votre partenaire, la surprise et surtout le naturel sont nécessaires et il faut donc éviter de tomber dans une forme de routine affective. Amicalement, Votre conseiller pour saisir l’importance des signes d’affection dans le couple Alexandre CORMONT
je ne supporte pas mon mec quand il a bu